dimanche 30 septembre 2007
Premières études de personnages.
vendredi 28 septembre 2007
Personnages en couleurs
Pour mémoire, dans ce scénario, l'allemagne nazie a gagné la seconde guerre mondiale et a créé une fédération européenne sur les principes du national socialisme. Des groupuscules "nationalistes" (attention, dans le bon sens du terme) se sont créés afin d'opposer une résistance aux autorités et de tenter de gagner une autonomie pour leur pays, voire l'indépendance.
Les cinq personnages que vous voyez là font parti d'une cellule parisienne.
jeudi 27 septembre 2007
Où est donc passé notre « french flair » ?
Alors que le dernier match de poule contre la Géorgie s'annonce, le passionné de rugby que je suis a envie de dresser un bilan de cette première phase de la coupe du monde de nos petits bleus (qualificatifs plein de tendresse car ils sont loin d'être petits, ne serait ce que pas la taille… ;)). Dire qu'ils ne m'ont pas convaincu serait un euphémisme. J'ai l'impression qu'à trop vouloir rivaliser avec les équipes de l'hémisphère sud (et l'équipe anglaise de la coupe du monde de 2003), on a trop insisté sur une préparation physique – nécessaire malgré tout – au détriment de ce qui faisait l'âme de notre jeu « à la française ». Certes, notre équipe possède une défense exemplaire, une arme qui constitua le principal des atouts de l'Australie et de l'Angleterre lors des deux dernières coupes du monde ; certes, elle est beaucoup plus disciplinée que par le passé (un temps où elle était incapable de ne pas faire des fautes bêtes à 30 m face à ses poteaux) ; mais ce qui faisait à mon sens sa plus grande force, cette capacité à se transcender, cette aptitude à créer des phases de jeu époustouflantes, cet instinct qui faisait peur aux plus grandes équipes car elles savaient notre équipe capable de renverser n'importe quel situation sur quelques coups de génie semble avoir disparu. Je le concède, il y a parfois encore des instants de grâce comme, par exemple contre l'Irlande, ce coup de patte de Michalak qui envoie Vincent Clerc à l'essai. Mais j'ai peur que ces petits sursauts d'orgueil ne fassent pas le poids lorsque nous commencerons à rencontrer les grandes équipes. En dehors de ces considérations, je m'interroge également sur les choix de Bernard Laporte. Pourquoi ne pas titulariser Sébastien Chabal au détriment d'un Vincent Pelous vieillissant (car ne vous y trompez pas, Laporte aurait titularisé ce dernier si il n'avait pas été blessé) ? Chabal constitue une arme de dissuasion à lui seul. Les autres équipes redoutent ce monstre de muscle et d'explosivité. Le rugby est un sport où la psychologie est importante. Quand vous mettez un Chabal dans une équipe, cela signifie : « Je vais vous rentrer dedans et vous marcher dessus. Et rien ne pourra m'arrêter… ». L'impact au niveau de la conscience adverse est beaucoup moins important quand vous lui laissez entendre : « A partir de la 60ème minute, je vais vous rentrer dedans et vous marcher dessus… ». Autre point de litige entre notre futur secrétaire d'état aux sports et à la jeunesse et le petit scribouillard que je suis : Pourquoi titulariser Raphaël Ibanez ? Une fois encore, ce grand joueur manque de l'explosivité qui fut sa force dans le passé. Alors que Sharjevsky (désolé si j'écorche un peu son nom au niveau de l'orthographe) semble emporter avec lui eu moins trois adversaires sur plusieurs mètres chaque fois qu'il « va péter ». Alors oui, il faut des cadres dans une équipe, des gens aptes à canaliser les plus jeunes et à insuffler une forme de maturité. Mais cela ne doit pas se faire au détriment de l'efficacité dans le jeu.
En 1998, Aimé Jacquet a mené l'équipe de France de football à la victoire et ce, alors que tout le monde lui prédisait l'échec et critiquait ses choix. C'est un comportement tout à fait français de conspuer ainsi ses équipes sportives ou de se croire plus intelligent que le sélectionneur en titre. Je ne fais pas exception à la règle… ;) Et, très franchement, j'espère avoir tort ; j'espère que d'ici quelques semaines, nos joueurs soulèveront la coupe du monde mais je ne parviens pas à m'en convaincre. Il est plus facile de douter, comme cela, on sera moins déçu si les choses ne se passent pas comme on aurait voulu. Mais une question se fait récurrente et résonne au creux de mes petites oreilles : Mais où est donc passé le « french flair » ?
lundi 24 septembre 2007
Etudes de personnages
Manu est très perfectionniste, en particulier dans les études qu'il entend mener sur chaque personnage de notre projet La Sauvegarde. Remarquez que cela ne me dérange pas… Je ne me lasse pas de les regarder et me prend à rêver qu'elles pourraient même constituer le socle de suppléments d'un Tirage de Tête… ;) Je vous en livre ici quelques unes. N'hésitez pas à laisser vos commentaires.
PS : Parallèlement, nous continuons la préparation des planches pour le dossier. J'espère être en mesure de vous les montrer d'ici peu.
Dessinateur : Manu Wattez1er cycle : 3 tomes
Genre : Anticipation
vendredi 21 septembre 2007
Pierre Cordwain de Kosigan, ne vous fiez pas à son sourire...
Voici donc le héros de la série dont je vous présentais deux planches il y a peu. Pierre Cordwain de Kosigan, alias "Le bâtard de Kosigan" est le bâtard d'une grande famille bourguignonne. Il évolue dans un monde de sang et de boue où il faut savoir manipuler pour éviter de l'être. Et lui ne s'en prive pas... Charmeur, beau parleur et roublard, ce sympathique mauvais garçon n'hésite pas à recourir à des moyens plus que discutables pour parvenir à ses fins.
Un héros de BD atypique loin de ceux défendant veuves et orphelins sans ménager leur peine et avec le pus grand altruisme... Souhaitons qu'il sache séduire un grand lectorat.
Scénariste : Fabien Cerutti
Dessinateur : Maciek Mazur
Présentation du projet avant la fin de l'année
jeudi 20 septembre 2007
Le grand Bleu
samedi 15 septembre 2007
Nouveau Blog...
mercredi 12 septembre 2007
lundi 10 septembre 2007
On n'arrête pas le progrès !...
vendredi 7 septembre 2007
Le retour vers la Bretagne
Lentement, mais surement...
Fabien Cerutti, le scénariste du projet, vient de m'envoyer la planche 2 de son projet Le bâtard de Kosigan. Je rajoute rien que pour vos petits yeux la planche 1.
N'hésitez pas à laisser vos commentaires pour dire ce que vous en pensez. Peut-être cela aura t'il pour conséquence de motiver plus avant le dessinateur Maciek Mazur.
mercredi 5 septembre 2007
Une nouvelle chance...
Par ailleurs, à l'origine, je voulais confier chacun des deux tomes de cette histoire à un dessinateur différent ; une idée certes ambitieuse (je ne suis pas Giroud, loin s'en faut) mais qui avait le mérite d'accentuer le côté alternatif de ces deux histoires d'un même homme. L'occasion s'est présentée alors que Philippe Hooghe, complice d'un autre projet et ami, a manifesté son intérêt pour le projet et que, tout à fait par hasard, j'ai rencontré Stephan Agosto et en suis venu à lui proposer de travailler avec moi. Tout cela n'en est bien sûr qu'aux prémices d'un travail qui va s'avérer un peu plus complexe mais qui n'en reste pas moins excitant. Je vous tiendrai au courant des évolutions de ce projet au fur et à mesure de son avancée. En attendant, pour mémoire, je résume dans les lignes qui suivent le concept et l'histoire de ce projet :
Cette histoire qui se déroule en deux tomes pose la question suivante : A un carrefour de son existence, peut on, en fonction du chemin que l’on emprunte, devenir un salaud ou un héros ? Et finalement, quels que soient nos choix et les chemins qui en découlent, n’existe-t-il pas une destinée pour chacun d’entre nous à laquelle nous ne pouvons échapper ?
Le héros de cette histoire, Pierre Hemmer, est un enfant vivant dans un petit village de Champagne-Ardenne à la fin des années 1920. Fils d’un allemand et d’une française, il se retrouve au début du récit face à deux alternatives alors que ses parents se séparent : Rester avec sa mère ou trouver les mots pour convaincre son père de l’emmener avec lui. Des conséquences de ces deux possibilités découle toute la trame de ce scénario.
Dans le premier cas (Tome I), il reste avec sa mère. Les circonstances feront de lui un meurtrier puis un soldat français et, finalement, un héros de la résistance.
Dans le deuxième (Tome II), son père l’emmène avec lui. Il se retrouve plongé dans l’Allemagne du début des années trente et finit par adhérer à la philosophie nazie et par intégrer la redoutée Gestapo.
Au final son destin sera tragiquement identique.
Si ces deux histoires d’un même homme sont par définition indépendantes l’une de l’autre parce que soumises à cette alternative, la plupart des lieux, des situations et des personnages secondaires que Pierre va être amené à rencontrer sont récurrents dans les deux tomes. Par exemple, le réseau de résistance qu’il sert dans le tome I, il le combattra dans le tome II.
Par ailleurs, les deux récits se complètent mutuellement, des questions laissées en suspens dans un tome trouvant leurs réponses dans l’autre.
Stephan traitera donc le tome 1 et Philippe le tome 2.
Je souhaite, alors que j'ai pris la décision de représenter ce projet, rendre hommage à Guillaume qui fut le premier à m'offrir les joies d'une collaboration avec un dessinateur sur un projet et sans qui, je n'aurais peut-être pas autant avancé dessus...
mardi 4 septembre 2007
Le grand jour !
Mais le fait est que cette journée est importante ! Du moins pour moi... et mon petit bonhomme dont c'est le premier jour de plusieurs milliers à venir.
Point de pleurs, c'est tout juste si il m'a dit "au revoir papa" et v'là qu'il était déjà en train de jouer avec ses petits copains. Certes, il y avait comme une petite inquiétude dans son regard mais je ne me fais pas trop de soucis... D'autant plus qu'hier, lors du repas, il nous a littérallement scotchés, mon épouse et moi-même, en nous disant : "Je vais à l'école ! Com' ça, je pourrais faire des calins aux filles !"... Ben oui, je dois dire que je suis pas peu fier, mais cela ne laisse rien augurer de bon pour son carnet de notes si il commence déjà à s'intéresser à autre chose.
Bon en tout cas, voilà une bonne chose de faite et comme l'a dit JP Pernaud au 13 heures : "Avec un peu de chance et beaucoup de travail, dans quinze ans, le BAC !"
dimanche 2 septembre 2007
Bienvenue à tous !
M'enfin, j'espère que ce petit blog répondra également à vos attentes et que vous y reviendrez avec plaisir. Vous pouvez d'ailleurs me donner votre sentiment profond quant à cette décision en répondant au petit sondage (à gauche en bas de page).
Pour ceux qui ont eu la gentillesse de me mettre en lien sur leur propre blog, n'oubliez pas de changer l'url.
Pour ce soir, je vous laisse en compagnie des voix suaves de Katie Mélua, de Norah Jones et des Corrs.