Je n'ai pas trop l'habitude de parler de ma vie à Tahiti. Après tout, ce blog n'a pas cette vocation. Mais mon actualité étant assez morne (points de réponses, sinon négatives, pour les deux projets que j'ai envoyés et L'alternative suit son cours) et l'envie de mettre à jour ce blog se faisant sentir, je vais donc faire une petite exception à la règle... Ou plutôt vous faire profiter à quelques milliers de kilomètres de distance de quelques prises de vue de mon dernier week-end à Moorea, île soeur de Tahiti.
Voici donc un petit film de la vue de la pension où nous logions...
N'y coupons pas, ce qui a toujours caractérisé ces îles enchanteresses, outre une population accueillante et un sentiment de vivre loin de tout (et surtout des problèmes métropolitains), ce sont ses paysages et surtout les lumières qui les baignent. Voici donc un coucher de soleil aux lumières chatoyantes.
Mais n'allez pas croire que je ne profite pas de ces quelques instants pour avancer sur mes scénarios... la preuve :
Bon, allez, je vous laisse... J'espère que le temps est au beau fixe en métropole ! ;)
8 commentaires:
Super ! C'est la première fois que je vois ta tête !!!! Et bien... que dire... Tu es plus bronzé que je ne le pensais ! :-)
Rhaââââââââââââââââââââ!!!!
;-)))
Salut Edouard,
Si tu veux, je peux t'envoyer les mêmes photos : un film de mon jardin, envahi par les herbes que je n'ai pas le temps de tondre puisqu'il me faut boucler l'Alternative avant deux mois ; une photo du ciel pourri, gorgé de flotte, qui menace de craquer à tout instant ; et une photo de mon bureau sur lequel je ne retrouve même plus mon paquet de clopes... ;-))
Bon courage quand même ! ;-))
Amicalement,
Stéphan
Gaaaaaaaaaaaaaa..... Bon... j'arrête de baver sur mon clavier...
J'y retournerai!!!!!
Rdv dans quelques mois mon p'tit Edouard!!! :) :) :)
La propension à la courtoisie qui me caractérise, tendrait à me faire dire que ces eaux cristallines et le teint halé que vous arborez fièrement ici, font écho chez le métroplitain carencé en vitamine D que je suis, à ce doux rêve de se voir porter par la douce mélodie d'un ukulele le soir, sur une plage, au coin d'un feu réconfortant, le regard perdu au milieu des reflets argentés de ces étoiles que l'on ne voit certainement plus guère que dans ces paradis lointains, perdus quelque part, dans l'immensité du Pacifique.
Mais ne pouvant faire fi de mon éternelle franchise face à tant de vice, je me vois dans l'obligation de sortir de cette boîte vermoulue frappée du sceau de la magie noire, que je garde en permanence à portée de mains, amulettes et autres reliques vaudous, afin d'entamer ce jour une longue série de rites sacrificiels, qui auront raison de votre santé, de celle de vos proches et mettront ainsi un terme définitif au démoniaque et vicieux esprit qui vous pousse ici et là, au fil des pages, à afficher sans une once de remord à la face du monde, la plénitude qui est la vôtre.
Tremblez jeune marin, car aujourd'hui commence votre chute dans le puits sans fond, que j'ai pour vous, déjà creusé.
UNE HONTE, MOSSIEUR ! Alors qu'on se débat ici entre crise financiere et fievre porcine,nous montrer votre trombinette dans des paradis terrestre et étrangers est une insulte à la vrai France,la France Pétainist....Sarkosienne.L'histoire jugera . . . .!
Tu es au paradis!!! :)
Amusant de mettre un visage "sur le blog !"
Sympathiques conditions de travail ! Amitiés. Laurent
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