samedi 29 novembre 2008

Comme quoi la télé n'est pas faite que d'émissions pour décérébrés, j'ai pu regarder hier au soir un excellent film. "Bobby" d'Emilio Estevez retrace la dernière journée de Bobby Kennedy à travers les agissements de ceux qui seront témoins de son assassinat. Bénéficiant d'un casting hallucinant, ce film est un réel coup de projecteur sur ce que fut cette époque aux USA et surtout les préoccupations de sa population, qu'elle soit vieille, jeune, hispanique, noire ou WASP. Il parvient par ailleurs à ne nous montrer Bobby qu'à travers des images d'archives admirablement intégrée au film lui-même. Une très belle réalisation donc. Agrémentée d'une bande son à tomber par terre... Je vous laisse d'ailleurs écouter "Never gonna break my faith" d'Aretha Franklin et Mary J. Blige. Personnellement, ce genre de film me touche (si si, j'ai même la larme à l'œil à la fin) et ce genre de musique, bah... Ce genre de musique m'élève l'âme...



Découvrez Aretha Franklin!



A consommer sans modération... :)

samedi 22 novembre 2008

Définitions...

buter [byte]
buter verbe intransitif
1. heurter du pied contre quelque chose
"j'ai buté contre une pierre"
2. être arrêté (par une difficulté)
"il sait presque lire mais il bute encore sur certains mots"
3. être bloqué (par quelque chose) ou s'appuyer (contre quelque chose)
"le battant de la fenêtre bute contre le mur"
4. : en architecture s'appuyer (contre quelque chose) en soutenant
"l'arc-boutant bute sur le contrefort"
5. au rugby : action de marquer en tapant le ballon avec le pied de façon à ce qu'il passe entre les deux poteaux.
buter verbe transitif
1. assassiner (quelqu'un) avec une arme à feu (très familier)
"ils ont buté trois mecs "
2. amener (quelqu'un) à s'opposer avec entêtement
"parle-lui mais surtout le ne bute pas!"
3. : en architecture soutenir (quelque chose) par une maçonnerie
"buter une voûte par un arc-boutant"

buteur [bytoeR]
buteur nom commun - masculin, féminin (buteuse, buteurs, buteuses)
1. au rugby : joueur sans qui une victoire est difficile à obtenir. N'existe pas dans l'équipe de France.

Des frissons plein partout...


Y'a pas à dire, à chaque fois que je regarde ce genre de vidéos, j'en ai l'échine toute parcourue de décharges électriques...

mercredi 19 novembre 2008

Philippe sur les rails !

Philippe vient de me faire le plaisir de m'envoyer trois planches d'un seul coup ! C'est dire si il semble avoir pris une belle vitesse de croisière. Utilisant largement certaines cases de planches ayant servies au dossier éditeur, il vient notamment de m'envoyer celle-ci.

N'hésitez surtout pas à y aller de votre petit commentaire. En particulier s'il est élogieux... ;)
Je crois vous l'avoir déjà dis : j'aime ces images de travail, en particulier celles dans lesquelles les dessinateurs nous ouvrent les portes de leur atelier pour nous montrer une planche en pleine élaboration.
Anthony Cocain avec qui je collabore sur un projet intitulé Akakor, vient de me faire le plaisir de m'envoyer un de ces images. Je ne résiste pas à celui de vous la montrer.

Cette scène se déroule sous l'eau et vu les capacités d'Anthony à mettre en scène les fonds sous-marins, cela augure une très belle planche...

jeudi 13 novembre 2008

Putain !

Vous vous souvenez de ce film "Quatre mariages et un enterrement" ? Au début, Hugh Grant est en retard. On l'entend répéter à foison des "merde" à mesure que les tuiles lui tombent dessus. Perso. (ce n'est pas du snobisme de ma part, hein ?), j'ai vu le film en VO la première fois . Ce qu'il dit, c'est "fuck". Ce qui, si j'en crois ma connaissance de la langue de Shakespeare se traduirait plus, dans notre propre langage ordurier, par "putain"... Donc, PUTAIN ! Que je suis con ! Hier, j'ai envoyé plusieurs dossiers éditeurs du projet "Hôtel California". Comme je suis un gros feignant, j'ai fait une base de mail commune et je rajoutais ensuite une petite note perso. à l'intention de l'éditeur que je visais. Or ma base de mail commune commençait invariablement par "Bonjour madame"... Ce qui,quand vous envoyez, par exemple, à un Pierre Paquet, n'est pas la meilleure entrée en matière... PUTAIN !!! En espérant que cela ne soit pas trop handicapant pour encourager l'éditeur à lire le projet...

mercredi 12 novembre 2008

Nouveau projet en quête d'un dessinateur : Hôtel California

Bon, ben voilà un projet assez ancien que je tente de relancer. C'est à dire trouver un dessinateur (de préférence talentueux ;)) pour s'y atteler avec moi. J'ai contacté un ou deux auteurs professionnels sans grand espoir de recevoir une réponse et ai laissé quelques postes sur divers forum de BD. Les quelques réponses reçues ne devraient pas donner quoi que ce soit, tout du moins pour ce projet mais je ne désespère pas. En attendant, que ceux qui passent ici aient la gentillesse de me dire grosso modo ce qu'ils en pensent. Personnellement, et c'est normal, j'aime bien l'idée et je m'éclate dans son traitement mais j'ai peur de ne pas être méga objectif... ;)
En résumé :
Sud de la France, fin des années 1970. Une équipe de malfrats s’apprête à braquer un fourgon blindé. Parmi eux, « Monsieur Lino ». Par amour pour « Lulu », sa compagne atteinte d’un cancer au stade terminal, il a décidé de mettre un terme à sa carrière. Ce coup sera son dernier et devrait leur assurer une retraite dorée pour les quelques mois qui leur reste. Mais comme le fait très justement remarquer un des malfrats, « Partager en trois, ça fait plus qu’en huit… C’est mathématique ! » Et cette donnée, Lino l’a intégrée depuis belle lurette. Aidé de deux complices, il va donc tenter de doubler le reste de l’équipe et notamment Dédé, son plus vieux complice et ami.
Seulement voilà, tout ne va pas se dérouler comme il le prévoyait et il va mêler à sa fuite un couple de hippies dont le seul tort a été de croiser sa route. Ces derniers parviendront tant bien que mal à retourner une situation pour le moins délicate et, finalement, à profiter de l’aubaine pour faire fortune. Mais ils devront pour cela remettre en question certains de leurs préceptes. C’est à ce prix qu’ils pourront réaliser leur rêve : ouvrir un hôtel qu’ils baptiseront « Hôtel California » en hommage à la célèbre chanson des Eagles.
Les intentions de l’auteur :
Ce premier opus est le point de départ d’une série. Cette dernière vise à rendre hommage à certains standards musicaux ayant marqué leur époque de par le succès qu’ils ont rencontré ou par l’influence qu’ils ont pu avoir sur la société, notamment à travers les mouvements dont ils sont issus. Chaque opus (one shot ou dyptique) aura comme nom le titre d’une chanson représentative de l’année durant laquelle se dérouleront les évènements décrits ; ces derniers faisant eux-mêmes références à la chanson, à ses paroles ou au mouvement social (ou musical) dans lesquels elle s’inscrit. L’hôtel que le couple de hippies fait construire et exploite à la suite de ce premier tome sera le fil conducteur de la série. Et c’est au sein de ce microcosme sans cesse changeant du fait des gens qui y séjournent que prendra place l’essentiel de l’intrigue de chaque opus qui pourra, le cas éventuel, être réalisé par un dessinateur différent afin d’accentuer la corrélation avec le mouvement musical ou la chanson abordés.
L’année 1977, au centre de ce premier tome, est l’occasion de mettre un focus sur deux mouvements antagonistes représentatifs de l’époque.
En premier lieu, les hippies dont l’idéal d’une société utopique basée sur la non-violence est en train de marquer le pas face à celle de consommation, censée offrir à tout un chacun travail et confort. Comme beaucoup d’irréductibles qui continuent de voir dans cette vie de Bohème, le partage de valeurs communes et, parfois, la consommation de drogues hallucinogènes, une fin en soi, le couple de hippies qui va se retrouver mêlé à la fuite de monsieur Lino tentent de résister à la disparition annoncée de leur mouvement. La récente annonce d’un heureux évènement à venir a toutefois quelque peu entamé leurs convictions et ils songent déjà à se sédentariser… L’occasion sera assez inattendue mais ils sauront la saisir avec intelligence et un rien de machiavélisme.
En deuxième lieu, et c’est là que se situe l’hommage principal de cet album, le milieu du grand banditisme. Représenté par une équipe de malfrats à l’ancienne qui va se retrouver confrontée à la trahison d’un des siens, et pas n’importe lequel… Elle est composée de personnages qui ne sont pas sans rappeler ceux immortalisés dans les films scénarisés par Michel Audiard : des grandes gueules attachantes qui ne s’en laissent pas compter et utilisent un vocabulaire qui leur est propre. A ce titre, en toute modestie, un soin particulier a été porté aux dialogues afin de les rapprocher au plus près de ceux des films références que sont « Les tontons flingueurs » ou « Le pacha ». Monsieur Lino comme le suggère son nom, se veut bien entendu et plus particulièrement un alter égo de Lino Ventura. Le dessinateur aura d’ailleurs comme tache de s’inspirer de ces « gueules » du cinéma français ayant marqué les années 70.
La confrontation de ces deux milieux antagonistes devrait assurer une certaine forme d’humour dans une histoire qui se veut toutefois assez sombre. Pour ce qui est de la corrélation avec la célèbre chanson des Eagles (parue en 1976), elle se fera notamment dans la communauté dans laquelle les deux hippies accompagnés de monsieur Lino trouveront refuge en fin d’album. Certaines paroles de la chanson seront d’ailleurs utilisées à cette occasion.
En souhaitant qu’à l’instar des occupants de l’hôtel california, cette histoire se révèle assez passionnante pour qu’il ne vous soit plus possible de la quitter…

lundi 10 novembre 2008

Comme je n'ai pas vraiment de nouvelles choses à vous montrer et qu'il me faut bien alimenter ce blog qui en a déséspérément besoin – parce que, hein, quand on va en bas de la page et que l'on se rend compte que la note qui s'y trouve remonte à juillet, on est en droit de se dire : « Mais il se fout de ma gueule ce mec ! » surtout si l'on a le bon goût (et la gentillesse) de passer ici chaque jour que Dieu fait – Ceci étant dit, je me suis donc dis qu'il serait ô combien intéressant que je vous contasse ce dimanche après midi que je viens de vivre et qui est à marquer d'une pierre blanche dans l'histoire de la feignantise humaine.

Or donc, après vous avoir bien bassiné avec cette longue introduction, j'en viens à mon propos, me voici en ce bel après midi de mois de novembre, après un copieux repas concocté par ma chère et tendre (composé de joues de saumon des Dieux et de riz savamment épicé), terrassé par une fatigue soudaine.
A ma décharge, laissez-moi vous dire tout d'abord que lutter pour que mes deux petits monstres adorés daignent tremper leurs lèvres dans les mets préparés avec amour par leur mère n'est pas une mince affaire. Les « j'aime pas ! » catégoriques ou « je peux mettre du ketchup ? » (alors que la moitié du pot y est déjà passé) se succédant au très subtil « Oh, j'ai renversé mon assiette ! » - m'enfin, tous les trucs auxquels sont habitués tous les parents – avaient largement entamé mon potentiel d'énergie de la journée. A ma deuxième décharge, sachez qu'aux antipodes de la métropole, dans ce petit bout de paradis où j'ai la chance de vivre, nous approchons de la saison des pluies. Cette dernière se caractérise notamment par une chaleur excessive (j'en entends qui me traitent de « salaud ») et un taux d'humidité tout aussi excessif. Cette météo a invariablement pour conséquence ce que les polynésiens nomment le fiu, prononcé fiouuuuuuuuuuuuu pour bien marquer l'incommensurable lassitude (et envie de rien foutre qui l'accompagne) qui étreint tout mâle normalement constitué (oui, car le fiu touche principalement l'homme mâle, c'est dans les gènes, on peut rien y faire…). Et, vous vous en serez douté, j'y suis sujet comme tout un chacun.

Or donc, et là je me rends compte que je ne suis toujours pas parvenu ne serait-ce qu'à évoquer le propos de cette note, me voilà sur ma terrasse – qui n'a pas besoin de braséro, soit dit en passant – me délectant d'une bonne sucette à cancer et de la vision enchanteresse de ma progéniture se chamaillant dans la piscine (ah, je vous avais pas dit que j'avais aussi une piscine ? J'en entends encore qui me traitent !), me faisant la réflexion qu'il serait bon de les y rejoindre si je n'étais pas si fiu qu'aller chercher mon maillot de bain s'apparente à l'ascension de l'Everest. A mesure que ce qui m'expédiera probablement entre quatre planches à six pieds sous terre (j'aime bien parler comme un cow-boy) se consumait dans d'artistiques volutes de fumée, mon regard s'attardait sur mon jardin avec la satisfaction du devoir accompli : mes oiseaux de paradis font de nouvelles pousses et mes fleurs d'opuis ne tarderont pas à éclore – je vous l'ai promis, un jour, je vous parlerai de mon jardin, vous n'y couperez pas ! Mais, bon là n'est toujours pas mon propos…

Harassé de fatigue et accablé de chaleur, mes 92 kilos 550 luisant de transpiration (ouais, ma balance est vachement précise !… ;)), je me résolus à faire retraite vers mon salon et d'y profiter du bonheur d'un cotam (pour les non affranchis, un cotam est un ventilateur plafonnier immortalisé dans les premières minutes d'Apocalypse now) et d'une main lasse (et moite) actionnait ma zapette histoire de voir ce que la chaîne locale – RFO – nous avait programmé en ce dimanche après midi… Et là, faut dire que j'aurais mieux fais de jouer à la DS de mon fils histoire de tenter, pour la énième fois, de niquer sa race à cette putain d'équipe des Jets qui me résiste toujours sur Madden 2008. Parce que, vous l'avez deviné, j'en viens (enfin !) au propos principal de cette note. – pour ceux qui ont eu la patience de me lire jusqu'ici, d'abord merci, et puis ce ne sera plus très long. Promis ! Enfin, j'en suis pas si sûr vu que j'écris comme ça vient. – Mes yeux, mon esprit, tout mon être tombait donc sur une émission intitulée « L'objet du sandale ». Objet du scandale du jour : Le Hamburger ! L'animateur (je dis « animateur » car le côté « journaliste » m'a échappé) Guillaume Durand avait invité pour l'occasion un florilège de personnalités ô combien de qualité, bobotisante à souhait et donc très au fait de ce à quoi peut ressembler la vie d'un français moyen. Parmi ceux-ci, un historien de la gastronomie (je savais même pas que ça existait mais à la rigueur, c'était le moins chiant de tous), des grands chefs et quelques people venus faire la promotion de leur dernier DVD ou CD (sur le principe de « c'est pas parce que je connais rien au sujet que je dois fermer ma gueule » avec une mention spéciale pour Anne Roumanoff qui n'a jamais, d'après ce qu'elle dit, bouffé un hamburger de sa vie parce qu'elle préfère les sushis – c'est plus bio, plus meilleur pour la santé et tellement plus à la mode…). Et ces gens de qualité de débattre sur la convivialité à table (disparue depuis l'avènement du Mc Do), de ce que sous-entend le hamburger en terme d'impérialisme américain ou encore de qui, des italiens ou des français, a inventé la gastronomie…

Conclusions :
- Le Hamburger est mauvais pour la santé (mon taux de cholestérol me le rappelle à chaque visite chez mon médecin)
- On ne sait pas qui a inventé la gastronomie… En plus, un petit malin a jugé bon de jeter le trouble en sous-entendant que les allemands auraient leur mot à dire sur le sujet
- Les sushis, c'est meilleur !

Je ne sais pas vous mais, franchement, y'a pas plus scandaleux qu'un malheureux hamburger ? Je ne sais pas, moi ! Par exemple, le fait que des gens se font massacrer en RDC, que l'intégrisme religieux est de retour à Kaboul ou encore que les margouillas – petits guecos très utiles car ils bouffent les moustiques – qui ont investi mon faré n'ont même pas la correction de ramasser leurs crottes. M'enfin, des sujets qui soient vraiment scandaleux et qui ouvrent les yeux aux pauvres cons de mon espèces qui n'ont rien de mieux à foutre que de regarder la télé un dimanche après midi.
Faut croire que non…
Très honnêtement, l'objet du scandale pour moi, c'est que ce genre d'émission puisse exister. Et dire que je les subventionne ! Faut vraiment être con !

Tout ça pour vous dire qu'à l'instar des émissions de télé, c'est relativement facile d'être long, chiant ( ?) et parler des heures sans apporter la moindre information utile ou nouvelle. Parce que, franchement, vous aviez pas besoin de me lire jusque là pour savoir qu'à la télé, ils nous prennent vraiment pour des cons !

Vous voulez savoir ce que j'ai fais après ? Et bien, j'ai allumé la DS de mon fils, j'ai beuglé comme un putois (le putois, c'est pour faire « cow boy ») après ce quater back de merde même pas capable d'assurer ses passes et je me suis pris une branlée par ses enfoirés de new-yorkais…
Après, pour me calmer, j'ai arrosé mon jardin… Vous voyez à quel point mes dimanches après-midi sont palpitants, hein ? ;)

samedi 8 novembre 2008

Navrant !

Je suis parfois profondément étonné, voire choqué, par la bêtise de certains de nos élus. Chaque année amène son lot de lois idiotes ou mal pensées. Et ces même élus de perdre encore du temps (et de l'argent à coups de commission d'enquête) pour défaire ce qui a été fait. Dernière en date, pondue -j'imagine - après la prise de drogues hallucinogènes : interdire les braséros mis sur les terrasses pour réchauffer ceux que la loi sur le tabac oblige dorénavant à fumer en dehors des débits de boisson. Et ce au prétexte que ces chauffages seraient très (trop) gourmands en énergie et pollueurs... Je les imagine bien ces trois cons opposer à l'argument "Mais les gens vont se peler les couilles !" un "Les fumeurs n'auront qu'à arrêter de fumer !" tout en s'auto-congratulant devant cette bonne blague et leur magnifique idée.
Franchement, je me pose la question : Comment peut on être aussi con et accéder à un tel pouvoir décisionnaire ?
Et quand la majorité des irréductibles se sera choppé une bonne crève et que ça coutera un maximum à la sécu, qu'est ce qu'ils vont inventer ? Interdire aux gens de tomber malade ?
Personnellement, je serais assez tenté de proposer une loi : Interdire le chauffage, l'éclairage ou la climatisation à l'assemblée nationale. Parce que je serais curieux de savoir à combien s'élève la consommation d'énergie du palais bourbon pour une année... Et puis, tant qu'à faire, obliger les élus à circuler en voitures propres... Parce que "charité bien ordonnée commençant par soi-même", quand on impose aux autres sa connerie, autant se l'infliger à soi-même pour commencer...

mercredi 5 novembre 2008

Rââââââhhhhhhh !!!

Que c'est bon ! Je viens de recevoir de mon libraire (et néanmoins ami;)) un paquet contenant 15 Kgs de BD ! Je sais, c'est pas bien de parler de livres au kilos mais quand vous habitez à 20000 bornes de la métropole, croyez-moi, le poids a de l'importance (merci la poste...). Bon toujours est il qu'en véritable manque, je me suis précipité sur le contenu pour y découvrir des titres aussi magnifiques que Mattéo (Gibrat) ou Tout seul (Chabouté)... Avec au passage de très agréables surprise, notamment La mangouste, découlant de la série XIII et dont le côté très "opération commerciale" me faisait craindre le pire... M'enfin, de quoi passer de très bons moments de lecture...
Frédéric Mangé a répondu à mon petit mail de présentation. Il semble très intéressé par notre projet et a hâte de se mettre au travail. Que du bon donc ! Et l'occasion de travailler avec une nouvelle personne dont j'apprécie la démarche à travers sa petite (et néanmoins talentueuse;)) maison d'édition.
Bon, c'est pas tout ça mais je suis en train de boucler plusieurs dossiers.... J'y retourne !!!

samedi 1 novembre 2008

Tiens, il est pas mort ?

Une petite note (bon je sais que je ne suis vraiment pas assidu en ce moment et je m'en excuse mais je bosse pas mal et j'espère pouvoir vous montrer plein de belles choses prochainement) pour vous informer que nous venons de changer de directeur éditorial pour notre projet L'alternative. A l'excellent Sylvain David qui nous a soutenu dans les premiers temps de cette aventure et qui part, dixit lui-même, vers d'autres horizons, se substitue Frédéric Mangé. Ce dernier, fondateur des éditions 13étrange (petite maison d'édition de qualité ayant rejoint récemment le groupe Glénat), n'est pas un inconnu du petit monde des éditions BD et je pense qu'il saura nous soutenir avec la même force que Sylvain. Cela ne m'empêche pas d'être un peu inquiet car il y aura inévitablement certaines petites choses qui varieront et qui nécessiteront quelques mises au point...
M'enfin, restons confiant et continuons ce travail on ne peut plus enthousiasmant...
Amitiés à tous ceux qui passent par ici et désolé de ne pas leur rendre visite aussi souvent que je le devrais...

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